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  • La Résistance, c'est l'ensemble des moyens et des actions employés pour lutter contre toute forme d'agression et d'injustice.   «Résister par  le combat», « Résister pacifiquement» et « Résister par l'art et par la littérature » sont autant de moyens de défense pour faire valoir les droits.

     Au départ le terme de Résistance était plutôt utilisé pour la lutte contre l'occupation nazie pendant la Seconde Guerre mondiale, dans divers pays de l’Europe où l'Allemagne fut dominante. De nos jours  la « Résistance désigne aussi un mouvement social », souvent inorganisée, et par laquelle les populations occupées tentent de maintenir leurs valeurs et manifester leur refus face à l'oppression. Cette résistance revêt des formes violentes ou non-violentes. 

     Nous allons vous parler dans un premier temps des formes de résistance connues jusqu'ici. Souvent ce sont des résistances armées dont il s'agit et dans un deuxième temps nous allons vous parler des nouvelles formes de résistance sans l’usage d’armes ni de violence. Ce sont les résistances pacifiques.

     

              Tout d’abord, la Résistance c'est bien « l'ensemble des combats menés au nom de la liberté de la patrie et de la dignité humaine » contre l'occupant. Résister et lutter pour la vie sont communs à tous les individus.

    De 1939-1945, on parle de résistants français. On distingue deux ensembles : une résistance extérieure et une résistance intérieure. La résistance extérieure a commencé en effet le 18 juin 1940 par l'appel lancé par le général De Gaule, à Londres, sur la radio anglaise, la BBC. C'est une résistance militaire. 

    La résistance intérieure française quant à elle désigne l'ensemble des mouvements ainsi que des réseaux clandestins qui, durant la Seconde Guerre mondiale, ont poursuivi la lutte contre l’Allemagne, sur le territoire français. Cette résistance intérieure  a commencé à se manifester par des actes isolés dès juillet 1940 (distributions de tracts, inscriptions sur les murs, actions de sabotages etc…).

    Mais qui étaient ces résistants ? Les résistants étaient des hommes et des femmes de tout âge mais souvent jeunes voire très jeunes. Ils  étaient issus de toutes les couches sociales , de toutes les sensibilités politiques et religieuses. Des étrangers et des soldats alliés ont aussi combattu aux côtés des résistants français.  Volontaires engagés dans l'action clandestine, les résistants risquaient à tout moment d'être dénoncés, arrêtés, torturés, emprisonnés, exécutés ou déportés. Ils constituaient une toute petite minorité courageuse.

    La résistance d'hier à aujourd'hui

    http://www.resistance-ftpf.net/images/page1.jpg

     

    Mais, Cela dit en temps de non guerre il existe une autre forme de résistance qu'on peut qualifier de pacifique.

                   L'idée de la résistance pacifique à une situation jugée injuste a depuis longtemps démontré son efficacité. Elle consiste en fait, à procéder par des manifestations non violentes telles que les manifestations pacifiques dans les rues, la désobéissance civile, les débats publics etc...

    La résistance pacifique utilise généralement des moyens pacifiques sans user de la violente. C'est un des traits qui la distingue de la révolution et d'autres formes de luttes, qui pour arriver à ses fins peut, en appeler à la force. Même pendant la deuxième guerre mondiale la résistance a pu englober aussi des aspects plus civils et non-violents comme l'existence d'une vaste presse clandestine, la diffusion de tracts, la production de faux papiers, l'organisation de grèves et de manifestations, la mise sur pied de multiples filières pour sauver les prisonniers de guerre évadés et les Juifs persécutés.

    Selon Max Weber cette résistance peut être physique mais aussi "symbolique" c'est-à-dire psychique, voire souvent économique avec le boycott. C'est principalement Gandhi en Inde, Martin Luther King aux Etats-Unis, Mandela en Afrique du Sud, les Grands-mères de la Place de Mai en Argentine et la contestation du pouvoir soviétique dans les années 1980 qui en ont montré l'efficacité. Les manifestations pacifiques  sont en général utilisées par les militants pacifistes qui remettent en cause l'esprit et les motifs de l'usage de la violence.

     

    De nos jours, il existe plusieurs formes de résistances pour toutes les causes. Aujourd'hui,  la manière même de résister a changé et s'exprime de différentes manières, il y a eu une évolution. On résiste par la lutte pour la vie ou la survie, pour lutter pour les valeurs morales, les valeurs sociales et familiales. On peut résister par l'écriture, par l'art, à travers des associations, la sensibilisation, les manifestations et même par la communication médiatique.

    Par exemple, les ONG qui sont des organisations à but non lucratif participent à une ou plusieurs lutte(s). Elles s'engagent et donc résistent pour une cause comme en France « les enfants du désert » qui est une ONG qui lutte pour que les enfants aient accès à l'éducation. Il y a la résistance par la littérature avec par exemple les poètes résistants pendant la seconde guerre mondiale, mais aussi la résistance par l'art comme les célèbres tableaux d’Otto Dix, de Picasso qui dénoncent les horreurs des guerres.

     

    La résistance d'hier à aujourd'hui

    Nous avons pu montrer les différentes formes de résistance et son évolution durant toutes ces années ainsi que les différentes personnes qui peuvent mener les actions de résistance allant des armées contre les occupations,  des peuples contre les abus de pouvoir ou des simples individus contre une injustice quelconque.

     

                Ainsi, la Résistance est à la fois une lutte armée et une lutte sociale contre l'occupation, contre la dictature, contre le racisme, contre l’oppression…  De nos jours, résister c'est aussi lutter contre toute forme de privation de liberté et des droits, contre les abus et l'exploitation. Mais si la résistance pacifique est un moyen de lutte pour protester contre une injustice elle a parfois montré ses limites. Notre rôle à tous est de nous demander comment faire en sorte que cette résistance qui freine l'usage des armes puisse être  réellement efficace ? 

    Marine C., Najoua L. & Wissal M. (3A)

     

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  •          Résister signifie lutter pour une cause ou contre une idée. Or, à notre époque, les réseaux sociaux font partie de notre société et de notre quotidien, surtout chez les jeunes. Et c'est un nouveau  moyen de communication  qui se révèle efficace pour lutter par exemple pour la liberté d'expression.

    La question qu'on va se poser est  comment  les réseaux sociaux sont devenus un moyen de résister et défendre la liberté d'expression ?

              Dans un premier temps, nous allons expliquer pourquoi les réseaux sociaux sont un moyen efficace pour résister. Ensuite, nous allons expliquer pourquoi il faut résister et dans un dernier temps, nous allons parler des dangers des réseaux sociaux et comment les combattre.

              Tout d'abord, un réseau social est un lieu sur internet dans lequel on peut diffuser des messages à travers le monde et les personnes qui utilisent les réseaux sociaux sont de plus en plus nombreuses de nos jours, les réseaux sociaux les plus utilisés en 2015 sont Facebook avec environ 1500 millions d'utilisateurs,  Instagram,  Google+, Twitter, Snapchat...

    Résister sur les réseaux sociaux

    http://www.migrosmagazine.ch/_storage/asset/4377889/storage/mymi:image-article_2/file/15419313/07530143.jpg

    De plus, un réseau social est efficace car il est instantané et c'est aussi un moyen de communication international. En quelques secondes, on peut échanger avec une personne qui se trouve à des millions de kilomètres. Les réseaux sociaux ont vraiment révolutionné le monde en cassant les frontières et les barrières. En un clic, n'importe qui peut diffuser un message et les internautes peuvent aussitôt le partager, le commenter. Ce qui rend les réseaux sociaux encore plus efficace, c'est qu'on peut y accéder de n'importe quel lieu et de n'importe quelle plate-forme grâce à la WI-FI, aux téléphones portables,  aux tablettes et pleins d'autres supports électroniques.

     

             Ensuite, résister est important aujourd'hui car notre société est dominée par la violence. Partout dans le monde il y a des guerres et des attentats terroristes. Le but des dictateurs, de la guerre et du terrorisme est de dominer en semant la terreur et la peur partout. La conséquence est que cela divise les gens, ça casse la fraternité et crée une société individualiste où les gens ont peur les uns des autres.

    Mais heureusement, les réseaux sociaux permettent de recréer une solidarité, un lien entre tous ceux qui veulent résister grâce à des logos, des messages dans le monde, des moyens de confirmer la liberté d'expression et de contourner la censure. Par exemple, le « Printemps Arabe » est un ensemble de contestations populaires, d'ampleur et d'intensité très variables, qui se sont produites dans de nombreux pays du monde arabe à partir de décembre 2010. L'expression de « Printemps arabe » fait référence au « Printemps des peuples » de 1848 auquel il a été comparé. Certains vont jusqu’à parler d’une révolution Facebook, d’une révolution Twitter voire d’une révolution 2.0 tant l’usage des réseaux sociaux et des géants du Net aurait été important. Comme autre exemple, il y a  des hashtags plus particulièrement sur twitter liés à notre actualité. Parmi ces hashtags, il y a  « Je suis Paris », « Not In My Name » …

    Résister sur les réseaux sociaux

    http://www.queensbridge.bham.sch.uk/wp-content/uploads/2014/12/not-in-my-name-704x400.jpg

              Mais, il y a malgré tout des dangers sur les réseaux sociaux. Ces dangers sont dus à l'anonymat, et donc, des fausses informations peuvent circuler mais aussi il y a le risque de se faire manipuler comme tomber dans le radicalisme et pleins d'autres dangers encore.

    Ceci dit, il y a quand même des moyens de combattre ces dangers. Ces moyens sont :

    - de vérifier ses sources, c’est-à-dire de prendre l’habitude de s'informer sur plusieurs sites et de ne pas croire tout ce qu’on lit sur les réseaux sociaux,

    - de mettre en place un contrôle des parents, d’en parler avec ses proches et ne pas s’isoler.

     

             Pour conclure, les réseaux sociaux permettent de résister avec plusieurs mesures  mises en place comme la création de logos adaptés à la situation, des slogans, des partages… Malgré les dangers qui existent, c’est un moyen vraiment efficace pour résister car il permet de créer un lien de la solidarité entre tous, un lien universel.

     Corentin F. & Alexis T. (3A)

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  • C'est un sujet d’actualité très sensible : “ la radicalisation et ses amalgames ”. La radicalisation se traduit par un changement de comportement rapide, ce qui cause le rejet de la loi et entraine de la violence au nom de dieu mais la radicalisation ne doit pas être confondue avec l’islam. Nous avons essayé de comprendre comment et pourquoi des jeunes se font manipuler et tombent dans l’islamisme radical. Et pour clôturer ce sujet, nous allons voir comment lutter contre cette radicalisation.

     

    Tout d’abord, les personnes qui rejoignent les groupes terroristes ou islamistes sont majoritairement des jeunes, parfois mineurs. D’après le site « stop djihadisme » près de 600 Français se trouveraient aujourd’hui en Syrie ou en Irak. Les jeunes qui ont été radicalisés et convaincus de partir sont issus de tous les départements y compris d’outre-mer, de tous les milieux, favorisés comme défavorisés, urbains comme ruraux, des centres-villes comme des banlieues. Internet est le meilleur moyen de recrutement utilisé par les islamistes. Ils y font leur propagande via des sites, des forums, des services de messageries directes, vidéos, des réseaux sociaux et même des sites de rencontres. Internet est donc l’outil le plus efficace pour faire circuler des messages adaptés aux jeunes que les radicalisés veulent attirer. Dans ces messages et cette propagande, les recruteurs promettent un avenir, un idéal ou une cause à défendre, mais la réalité est loin d’être un paradis ; là-bas les jeunes ne rencontreront que manipulation, barbarie et mort. Ainsi, beaucoup de jeunes sans connaissance de l’islam et croyant à ce monde idéal mensonger, basculent dans un processus de radicalisation violente. Ce qui étonnant, puisque ces jeunes disent agir au nom de l’islam alors que la religion musulmane comme toutes les autres religions prône la paix et la fraternité.

    En fait, ces jeunes sont des proies faciles pour les recruteurs vu qu’ils sont un peu perdus, déboussolés. La plupart des ces personnes étaient des ex-délinquants ou des ex-prisonniers qui ont découvert l’islam en prison auprès d’autres personnes en rupture avec la société et pensent se racheter et réparer leurs erreurs en combattant aux côtés des islamistes.

    La radicalisation et ses amalgames

    http://www.courrierinternational.com

    Personnellement lorsque je vois une vidéo de propagande ou une vidéo d’exécution, je vois cela comme de la violence gratuite, comme de la pure barbarie mais ces vidéos peuvent aussi être vues par certaines personnes comme une sorte de justice filmée.

     

    Puis, le processus de radicalisation n’est pas toujours visible mais lorsqu’il est visible, il est urgent de réagir. C’est pourquoi pour contrer cette radicalisation, le gouvernement a mis en place plusieurs actions adaptées comme :

    -         La création d’une association nationale musulmane nommée « association de la prévention de la violence et du radicalisme » ;

    -         Le lancement d’un colloque national afin de comprendre la radicalisation chez les adolescents ;

    -         Le développement de moyens de communications sur internet aptes à rivaliser avec des sites extrémistes ;

    -         Le lancement d’un numéro vert gratuit pour signaler les dérives radicales islamistes mais cette fois dans le but d’aider les familles confrontées à ce problème de radicalisation ;

    -         L’instauration d’une formation continue courte et ciblée pour aider les imams et les aumôniers de prison à repérer et traiter les cas de dérive radicale.

     

     En conclusion, nous avons pu constater lors de nos recherches qu’il y a un profil type du « futur » islamiste : principalement des personnes qui ont eu un passé difficile, qui sont souvent en rupture avec leur famille, et fragiles psychologiquement…. Elles sont à la fois rejetées par la société et par le gouvernement et deviennent donc une cible de choix pour les radicalisés. Il est urgent que l’Etat applique les mesures vues précédemment pour lutter contre la radicalisation et soutenir ces personne en difficulté afin qu’elles s’insèrent dans la société.  Mais une question reste en suspens : comment se fait-il que des français partent en djihad sans se faire repérer, surtout des adolescents mineurs non accompagnés de leurs parents  ?! Ne faudrait-il pas réinstaurer la procédure supprimée en 2013 qui exigeaient une autorisation écrite des parents pour toute sortie du territoire d’un mineur ? Cela permettrait au gouvernement d’avoir un contrôle sur les départs des mineurs et de réduire ainsi leur possibilité d’aller faire le jihad en Syrie ou Irak.

     Kenza B. & Mélina L. (3A)

     

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  • La société fixe les règles ; elle définit nos droits et devoirs. Donc être citoyen, c'est les respecter. Mais qui doit éduquer à la citoyenneté ? Dans un premier temps, nous verrons ce qu'est la citoyenneté, puis le rôle de la famille et de l'école dans l'éducation à la citoyenneté,  et pour finir, nous expliquerons  comment on peut être citoyen à notre âge.

     

    Qu'est que c'est la citoyenneté ? 

    Vivre ensemble, ça s’apprend tous les jours. Vivre avec les autres, c'est vivre en société et donc il faut adopter une certaine conduite et respecter des règles. C'est un peu comme un jeu de société si on respecte les règles, on s'en sort bien mais si on ne les respecte pas, on finit seul ou en prison.

    Dans la citoyenneté, 3 mots sont importants :  

    Liberté :  D'après la déclaration des droits de l'homme les êtres humains naissent et demeurent libres et égaux en droit, la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas aux autres, à ses opinions, au respect de la vie privée et le droit à la propriété. Et chacun peut être électeur à l'âge de 18 ans ou se présenter comme candidat politique.

     Égalité :  Tous les citoyens sont égaux devant la loi, sans distinction de sexe, d'origine, de race ou de religion. La loi est la même pour tous. Les hommes et les femmes ont dans tous les domaines les mêmes droits.

    Et l'instruction, c'est-à-dire l'école, est obligatoire pour tous les enfants jusqu'à 16 ans,

     Fraternité : Tout citoyen français participe à la défense et à la cohésion de sa nation.

     

    Quel est le rôle de la famille et de l'école dans l'éducation à la citoyenneté ?

    L'éducation commence à la maison : nos parents nous inculquent des règles et des valeurs comme le respect de l'autre, du matériel, de la politesse, la différence entre le bien et le mal... Mais l'école a aussi un rôle très important à jouer car on y passe beaucoup de temps. Elle nous apprend la citoyenneté et le respect des valeurs de la République. Par exemple, les professeurs d'Histoire nous donnent des cours d'éducation civique ; l'ensemble ds professeurs et la documentaliste nous apprennent à avoir un regard critique par rapport aux images et aux informations qu'on trouve sur internet ou à la télé pour éviter de nous faire manipuler. En EPS, on nous apprend à jouer en équipe, à s'entraider...

    L'éducation à la citoyenneté

    http://www.assolatitudes.net

    Bref, c'est le devoir de l'école et de nos parents de nous éduquer à la citoyenneté.

     

    Comment être citoyen à notre âge ?

    On peut être bénévole, adhérer à des associations, mais à notre majorité, on pourra aussi voter, entrer en politique...

    -  A tout âge, on peut adhérer à une association et participer ou soutenir les activités qu'elle propose. Quand on est bénévole dans une association, on le fait sur son temps libre et gratuitement pour mener à bien une action collective. Un million d'associations existent comme les restos du coeur, l'Unicef... Il existe des associations petites ou grandes dans tous les secteur, au sein desquelles on peut choisir le temps qu'on veut consacrer à cet engagement et les responsabilités qu'on veut y prendre.

    -  A l'école, on peut être délégué de sa classe pour représenter ses camarades auprès de la communauté éducative et leur transmettre des informations. De plus, le foyer socio-éducatif comporte généralement plusieurs clubs d'activités qui peuvent être proposés et même animés par des élèves.

    -    L'association sportive scolaire est un autre moyen de participer à des activités collectives.

    -    On peut aussi tenir compagnie à des personnes âgées en maison de retraite…

    Il y a donc plein d’actions possibles. Il suffit de se renseigner autour de soi.

     

    En conclusion, la citoyenneté s'apprend dès le premier âge, mais c'est surtout tout au long de la vie que l'on doit l'appliquer mais il faut aussi savoir s'engager dans des manifestations ou autres. Et c'est grâce à la citoyenneté que nous pouvons vivre en société en se respectant les uns les autres.

     

    Antoine & Yacine (3A)

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  • D'après un sondage Odoxa publié dans le Parisien le dimanche 6 décembre, 68% des gens questionnés sont pour l'ouverture des magasin le dimanche,1% sont contre.

     

    Le sondage explique que 92% pensent que c'est un jour de repos , 91% pour la famille et seulement 42% le voit comme "une journée de course et de shopping" et 33% "une journée comme les autres". Il y a pas que des avantages, 42% voient sa comme une régression sociale mais 57% comme une avancée.

    Par respect pour leur vie privée, une majorité de français ne veut pas travailler régulièrement le dimanche : 53% y sont contre mais 46% sont pour car c'est mieux payé (1% ne se prononce pas).

    Pour ou contre le travail le dmanche ?

    http://archives.nicematin.com

    Malgré tout il y a des inconvénients : d'abord, ça va "renforcer" la société de consommation car ça incite à faire des achats tous les jours de la semaine, puis ça banalise le dimanche alors que c'est une journée de repos, de retrouvailles entre proches, et enfin, ça fait une nouvelle pression sur les salariés car peuvent-ils vraiment refuser de travailler le dimanche ? Mais surtout elle est dangereuse pour les petits commerces qui ferment le dimanche...

    Pour ou contre le travail le dmanche ?

    http://www.nawak-illustrations.fr

    Personnellement, je pense que c'est une bonne chose si ça peut créer du travail à condition qu'on embauche des personnes volontaires pour travailler ce jour-là.

     Sarah C. (3B)

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