Un cœur artificiel a été inventé et implanté sur 2 patients (1 est mort et l'autre est vivant).

Le cœur artificiel est en plastique à l’extérieur et en tissu de bœuf à l’intérieur. Il a 2 ventricules dont une partie qui peut bouger pour faire circuler le sang dans le corps. Un mini-moteur permet d’actionner une pompe. Le cœur marche à l’électricité grâce à une batterie qui est sur l’épaule du patient et qu’il faut changer toute les 4 heures, mais la nuit le patient garde les batteries.

http://s2.lemde.fr

Le cœur marche comme un cœur naturel, c’est-à-dire que quand on fait un effort, le cœur s’adapte et donc bat plus vite grâce à des capteurs.

Le deuxième patient à avoir reçu ce coeur artificiel est rentré définitivement chez lui et mène maintenant une vie normale. 

                                                                                         Shayma B. (5D)

Aux États-Unis, plus de 30 millions d’adultes se livrent à des « binge-drinking » (de binge : bringue + drink : boire) quatre fois par mois que l’on peut traduire en français par  « alcool défonce » ou « beuverie » ; le seul but est d’être saoul le plus vite possible.

http://images.addictionblog.org

Plus de 200 personnes meurent chaque année à cause de cette consommation occasionnelle mais excessive d'alcool. Selon le rapport des autorités sanitaires, 3 décès sur 4 se produisent avec des adultes de 35 à 64 ans. Ces décès résultent d’une très grande quantité d’alcool (au moins 5 verres pour les hommes et 4 pour les femmes en une seule occasion) qui entraîne une alcoolémie qui peut bloquer des mécanismes dans le cerveau qui contrôle la respiration, la température du corps, etc…

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Le « Binge drinking » est un phénomène répandu aussi mais chez les jeunes en Europe...

Sabrina R. (3D)

C’est ce qu’affirme l’Ipsos qui a sortie un article à l’occasion de la 12ème semaine du son qui se tiendra du 19 au 25 janvier à Paris et jusqu'au 8 février dans plus de 70 villes françaises et internationales. 

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Selon un sondage IPSOS, chaque jour, les 15-30 ans écoutent, en moyenne, 1h43 de musique au casque ou avec des oreillettes. Et ces chiffres alarment les spécialistes de l'audition car 10 % des jeunes ne baissent jamais le son de leurs casques ou écouteurs et les trois quarts ont déjà eu des bourdonnements et des sifflements dans les oreilles. Mais ce qui est encore plus inquiétant, c'est que la moitié des jeunes qui ressentent un problème auditif ne consultent pas. Le docteur Alain Londero, qui a fait cette étude,  nous dit que l’on prépare une génération de sourds...

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Écouter de la musique  devient dangereux à partir de huit heures d’écoute à 80 décibels (dbA), de quatre heures d’écoute à 88 dbA, de deux heures à 91 dbA… Et depuis 1998, il est interdit d’écouter de la musique à plus de 105 dbA de moyenne dans une discothèque ou dans un concert. Bien sûr,  « en dessous de 80 décibels, nous ne risquons rien » affirme Yves Cazals le directeur de recherches sur la surdité à l’Inserm.

Les spécialistes conseillent de faire des pauses régulières durant les phases d'écoute, d'éviter les casques ou les oreillettes et de mettre des bouchons d'oreille lors des concerts. Un conseil : en cas de bourdonnement ou de sifflement après une nuit de sommeil, il faut absolument consulter un spécialiste, le plus vite possible.

Maintenant, je ferai beaucoup plus attention à ne pas écouter de la musique trop fort. J’espère que vous ferez de même... 

 Simon L. (3A)

http://lewebpedagogique.com

Quand on consomme beaucoup, on fait une surconsommation. Depuis l'an 2000, les français consomment beaucoup trop d'antibiotiques. La grande majorité des consommateurs sont des femmes. Le phénomène se produit souvent dans les villes.

A force d'utiliser les antibiotiques, ils ne sont plus aussi efficaces qu'avant car notre corps développe des résistances contre les bactéries. C'est ce qu'on appelle l'antibiorésistance. Donc le gouvernement veut lutter contre ça.

Je pense qu'il faut arrêter de trop consommer d'antibiotiques. Ce n'est pas une solution. Au contraire, c'est dangereux pour la santé.

Jeanne P. (5C)

 A cause du cannabis, les consommateurs voient leur QI partir en fumée... En effet, selon une nouvelle étude scientifique présentée dans les Actes de l'Académie des Sciences Américaine (PNAS), la consommation chronique de cannabis diminue le volume de matière grise du cerveau. Des scientifiques américains ont comparé par IRM le cerveau de 48 consommateurs de cannabis et 62 cerveaux de non fumeurs. Ils ont remarqué que le cerveau des fumeurs était moins volumineux que celui des non fumeurs. Ainsi, plus on fume jeune, plus le cerveau se détruit rapidement.

http://s2.lemde.fr

 Un conseil : Si tu veux garder ton cerveau intact, ne fume jamais de cannabis et même ne fume pas tout court !

Serge-Patrick E. (3B)