Le 17 février, c'était le soir de la rencontre entre le PSG et Chelsea. Des supporters de Chelsea étaient dans le métro. Une personne de couleur noire voulait monter dans la rame de métro mais les supporters l'ont repoussé à plusieurs reprises ! Les supporters chantaient « Nous sommes racistes, nous sommes racistes, et on aime ça », puis répéter « on aime ça ». La scène a été filmé par un voyageur choqué qui l'a mis sur les réseaux sociaux.

Le club de foot a empêché l’accès au stade à 3 supporters suspectés d'être les auteurs de cet acte raciste. Une fois que les responsables de l’agression seront clairement identifiés, ils seront bannis à vie d’accès au stade. Le club a lancé un appel à témoin, la vidéo qui a été postée a suscité de nombreuses réactions.

http://s1.lemde.fr

Je trouve que c'est odieux de repousser une personne  juste car elle a une couleur de peau différente !

Shayma B. (5D)

Fin janvier, un handicapé mental de 54 ans, Warren Hill, a été exécuté dans l'état de la Géorgie, aux Etats-Unis. Bien que l'exécution d'attardés mentaux soit interdite depuis 2002, la Géorgie s'est donné ce droit. Mais pourquoi ?

Allons 30 ans en arrière … En 1985, Warren Hill a été condamné à la prison à réclusion à perpétuité (c'est-à-dire seul dans sa cellule à vie) car il avait tué sa compagne. 5 ans plus tard, il assassine un prisonnier avec une planche à clous. De plus, plusieurs médecins psychiatriques avaient affirmé que Warren Hill avait un retard mental depuis son enfance.

http://www.netquake.net/wp-content/uploads/2013/02/warren-lee-hill-execution-330x185.jpg

Revenons à la dure réalité … Certes la Géorgie est l'un des états les plus stricts des États-Unis, mais la peine de mort ne doit pas être autorisée sur des personnes ayant un problème mental. Ceci est une autre preuve qui montre que la peine de mort doit être supprimée car elle est définitive mais également injuste.

Imaginez un peu que vous êtes accusé d'un meurtre que vous n'avez pas commis et que vous êtes condamné à mort… Prenons l'exemple de Rida Daalouche, malade psychologiquement, et condamné à 14 ans de prison pour avoir tué un revendeur d'héroïne avec des débris de verre. Innocent, il est libéré après 5 ans de détention, 1932 longs jours pour un crime qu'il n'a pas commis !!! Et s'il avait été condamné à la peine de mort alors qu'il était innocent ?! La justice n'est pas à l'abri d'erreurs judiciaires. L'actualité nous le prouve souvent. D'ailleurs, si on regarde les statistiques aux Etats-Unis, il y a une certaine discrimination : si on est noir, on a plus de chances d'être condamné à mort...

Voici la peine de mort aux Etats-Unis en quelques chiffres (source : MRAP)

   - il y a actuellement aux États-Unis 3.700 personnes qui attendent leur exécution dans les couloirs de la mort.

 - 80 % de ces condamnés sont des personnes sans ressources.

 - 42 % des condamnés sont noirs alors que les Noirs ne représentent que 12 % de la population américaine.

 - en Pennsylvannie, l'Etat qui a condamné Mumia, ce chiffre monte à 62 % des condamnés pour une représentation de 9 % dans la population.

 - depuis que la peine de mort existe aux U.S.A., 18.000 personnes ont été assassinées légalement.

 - sur ces 18.000 individus exécutés, seules 36 d'entre eux l'ont été pour avoir assassiné une personne de couleur.

 - 98 % des procureurs qui décident de la mort des accusés sont blancs.
- on estime actuellement qu'aux États Unis, 1 exécuté sur 7 est innocent du crime qu'on lui reproche !!!

Plantu

 C'est ainsi que de nombreuses questions se posent : la peine de mort doit-elle être supprimée ? Comment éviter les erreurs judiciaires ?

 Umayma B. (3A)

Nous sommes 24 élèves de 6^ème du collège Louis Armand à être partis au ski dans les Alpes, à Ancelle. Nous avons fait le voyage avec des élèves du collège Marcel Pagnol. Nous étions accompagnés par Mme Ballesteros, M. Constantin et M. Rochefort. Il y avait 3 autres professeurs pour l’autre collège

Nus sommes partis le dimanche 18 janvier à 5h45 du matin. Le réveil a été difficile, dur d’avaler quelque chose à une heure aussi matinale ! Le trajet a duré presque 12 heures car nous avons fait plusieurs arrêts. Heureusement, que nous pouvions regarder des films dans le car comme « Retour à la case départ » et « Les gamins ». 

On est arrivé vers 17 heures. On a dû se répartir par groupe de 3, 4 et même jusqu’à 10 élèves par chambre ! Les chambres étaient grandes et il y avait des lits superposés. Les repas étaient délicieux : il y avait des gratins, du couscous, de la soupe, des légumes… Bref, on s’est régalé !

Chaque matin, nous nous levions à 7 heures 45 : les professeurs nous réveillaient en musique. C’était marrant.

Après un bon petit déjeuner, nous allions chercher le matériel pour skier. Il y avait 2 groupes : un géré par les moniteurs et un autre par les professeurs. On skiait toute la matinée. Vers midi, on rentrait tout mouillés et très affamés. Après le déjeuner, on retournait skier mais on échangeait les groupes : ceux qui avaient le moniteur allaient avec les professeurs et vice-versa. 

Le soir, on goûtait et on faisait des jeux de société avant d’aller se doucher à tour de rôle. On restait ensuite dans nos chambres ou dans la salle des jeux en attendant le dîner. Après le repas du soir, on restait dans nos chambres à discuter, à jouer en attendant le couvre-feu, vers 21h45.

Et le dernier jour, il y a eu la remise des flocons : ce sont des niveaux de performance au ski. On pouvait gagner jusqu’à 2 étoiles. Pour les gagner, il fallait réussir un parcours fait de slaloms. Le dernier soir, on a fait une boum.

Nous sommes revenus le 23 janvier. Le voyage retour est passé très vite car on a surtout dormi dans le car puisqu'on a voyagé de nuit pour arriver à 7h45 au collège !

Le voyage au ski était super ! On a passé un très bon moment et on s’est fait de nouveaux amis dans l’autre collège.  Dommage que l’année prochaine, on ne puisse pas y retourner car c’est réservé qu’aux 6èmes ! Sauf si on redouble ;)

Les professeurs d'EPS ont créé un blog pour le voyage au ski. Vous pourrez y découvrir de nombreuses photos et vidéos souvenirs. il suffit de cliquer sur l'image ci-dessous :

Séléna et Batiste (6A)

Le 12 février, avait lieu la journée internationale des enfants soldats, organisée par l’UNICEF. Les enfants soldats sont des garçons et des filles mineurs qui sont engagés dans des groupes armés : ils peuvent être soldats, faire la cuisine, ou se servir de messagers. Soit ils ont été pris de force, soit ils se sont retrouvés seuls après que leur famille ait été tuée et ils sont devenus soldats pour se venger du groupe qui a tué leur famille. Il y a 250 000 enfants mineurs dans l’armée !

Ce n’est pas normal que les enfants fassent la guerre au lieu d’aller à l’école.

                                                                                                         Sarah L. (3B)

Le 10 février 2015, a eu lieu le SAFER Internet Day qui est un événement mondial organisé par la Commission Européenne. Il existe depuis 2004.

http://www.internetsanscrainte.fr/sites/all/themes/_isc3/images/v3/slideSID2015.jpg

L’Europe s’est mobilisée au côté des enfants, de leurs parents et enseignants ainsi que des éducateurs. L’objectif est de promouvoir un meilleur internet pour les jeunes. Vous pouvez avoir plus d'informations ici.

En France, 40% des élèves ont été victimes d’agression ou de moqueries en ligne. Le moyen le plus fréquent reste l’insulte pour un élève sur cinq, suivi par des appels téléphoniques humiliants, désagréables, de l’usurpation d’identité et l’exclusion d’un groupe social en ligne ou des problèmes sur un chat comme MSN.

La meilleure chose à faire, c’est de prévenir immédiatement vos parents, vos copains, administrateurs du site pour les comptes qui te posent problèmes soient rapidement bloqués.

Si tu es témoin d’un harcèlement, surtout ne participe pas. Préviens les parents de ceux qui en sont victimes. Il faut engager la responsabilité des adultes. Vous pouvez contacter le « Net écoute » au 0800 200 000 ou par e-mail pour accéder à cette procédure.

                                                                                                 Sabrina R. (3B)