Lundi 14 mai,  de 7h à 9h30, des policiers et des gendarmes ont contrôlé par surprise plusieurs cars et ont verbalisé toutes les personnes qui ne portaient pas la ceinture. Ils ont contrôlé 15 cars en Eure et Loir : à Luisant, Mignières, Sours, Dammarie, Coudray et à Morancez.

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Mais ce n'est pas si simple de pouvoir repérer les personnes qui ne portent pas leurs ceintures. Pendant les contrôles, les policiers ont souvent entendu de multiples «clics» lorsqu'ils montaient dans le car en les voyant, les passagers retrouvent les bons réflexes...

Si les voyageurs ne portent pas la ceinture, ils reçoivent une amende de 90 euros. Le port de la ceinture est obligatoire dans tous les transports.

 Lydia O. (5B)

 Alors qu'il y a 65 ans, la guerre de Corée a pris fin et a séparé le pays en deux parties égales, le Nord et le Sud, aucun des dirigeants n'a essayé de franchir le sol de son voisin avant 2018. Cette année sera donc une année exceptionnelle pour les deux Corée car pour la première fois, Kim Jong-Un, dirigeant de la Corée du Nord, s'est rendu sur le sol Sud-Coréen alors que Moon Jae-In s'est rendu en Corée du Nord.

 Au début, chacun est arrivé de son propre côté avant une poignée de main historique entre ces deux Coréens, comme si ils étaient amis depuis toujours comme si la guerre n'avait pas existé.

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Le dirigeant Nord-Coréen est arrivé devant son voisin et lui a tendu son bras pour lui serrer la main, le Sud-Coréen a pris la main de son confrère.  Après cette fameuse poignée de main, ils ont échangé un regard et quelques paroles ! Mais aussi les fameux pas.

 C'est Moon Jae-In qui a invité Kim Jong-Un à franchir son terrain ; ensuite c'est Kim Jong-Un qui a invité l'autre dirigeant mais ce dernier a hésité un peu finalement avant de mettre son pied sur le territoire du voisin, le Nord.

 On peut dire que l'on se souviendra longtemps de ce fameux pas en avant, j'espère que ça va durer et que la Corée ne sera plus deux états mais un état à part entière.

 Appoline (4D)

Au nord de Lyon, Jahden, un enfant de 6 ans scolarisé en grande section est mort après avoir mangé une crêpe à l'école alors que le personnel était au courant de ses allergies alimentaires. Il est mort d'un choc anaphytlactique,une réaction qui est immédiate.

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L'institutrice soupçonnée d'avoir donné la crêpe à l'enfant allergique au lait a été mise en examen pour homicide involontaire. L'enseignante de maternelle a été laissée libre jusqu'à sa convocation devant un juge d'instruction.

Nadine (5A)