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Au Qatar, il y aura la coupe de monde de foot en 2022. Et en novembre, Amnesty International avait dénoncé une exploitation ''inquiétante'' des travailleurs immigrés au Qatar, citant des cas où des ouvriers, majoritairement asiatiques, étaient traités comme « des animaux ».

Fin janvier, la FIFA avait ''sommé'' l'émirat de présenter au plus tard le 12 février des mesures concrètes pour améliorer le sort des ouvriers. Le Qatar doit donner la liberté d'association afin que les ouvriers puissent être représentés par la personne de leur choix. L’OIT (Organisation Internationale du Travail) doit vérifier l'application de sa législation, pour vérifier l’amélioration des conditions de vie des travailleurs étrangers. Le comité d'organisation du Mondial 2022 a annoncé « des normes pour le bien-être des travailleurs. Les entrepreneurs versent les salaires sur des comptes bancaire et prévoient un système permettant de vérifier que tous les travailleurs sont payés à temps et aussi que les normes pour les logements des travailleurs soient bien respectées, fixant des basses claires concernant le nombres de lits par chambre et en assurant un seul minimum en matière de propreté et hygiène ''.

Les ouvriers sont des êtres humains et ils doivent être respectés. C'est une bonne chose si cette coupe du monde permet d'améliorer les conditions de travail des ouvriers immigrés au Qatar.

Mohamed (3D)